Le festival de Cannes est certainement l’occasion d’admirer les vedettes sur la fameuse Croisette. Cette partie de Cannes est pourvue d’une large promenade bordée de palmiers, elle reçoit tous les ans, au mois de mai pendant 12 jours des célébrités du 7ème art.
Tout a commencé en 1938, le français Philippe Erlanger voit dans le cinéma vénitien un art qui devient de plus en plus totalitarisme. La Mostra, le festival du film international de Venice récompense sous la pression d’Hitler et de Mussolini une production de propagande nazie et un film italien.
Cette décision provoque un tollé et la France, L’Angleterre et les États-Unis y voient une menace fasciste.
C’est ainsi qu’en 1939, une tentative d’un tout nouveau festival à Cannes fait son entrée, mais les évènements de la seconde guerre mondiale l’ interrompent brusquement.
Et finalement, en 1946, le Festival international du film de Cannes ouvre ses portes. C’est dans un nouveau contexte d’après-guerre que le Festival se fait remarquer par toutes ses vedettes ou « stars » issus de pays différents.
En 2019, la Palme d’or a été décernée à “Parasite” de Bong Joon-ho, un thriller sud-coréen qui est une première pour un film Coréen. C’est un grand film qui se déroule dans un quartier pauvre de Séoul où un couple et leurs deux enfants vivent dans une pauvreté absolue. Puis un jour, un copain du fils (Ki-woo) de la famille propose à celui-ci de se mettre au service d’une famille riche habitant dans une immense villa. Ki-woo est supposé donner des cours d’anglais à la fille de la famille mais c’est là que commence tout le suspens. Film à la fois, comédie noire, thriller horrifique et drame social, à voir absolument !
Bong joon-ho a voulu produire un film sur la lutte des classes, la fracture sociale entre les riches et les pauvres.
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